Ne serions-nous que des modèles connus et pilotables par algorithmes ?

 

Chacun a son histoire. Sa dynamique propre. Je chemine avec les gens en mouvement, parfois je me pose avec les personnes à l’arrêt et je les invite, à partir de leurs moteurs profonds, de leurs talents disponibles, à mettre ou remettre en mouvement leurs potentiels. Potentiels à comprendre, imaginer, décider, puis agir, en cohérence avec qui sont véritablement ces personnes. C’est-à-dire en cohérence avec leur nature profonde, si l’on simplifie un peu les choses.

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J’écoute chaque parcours de vie pour ce qu’il est. Sans parti pris, sans excès d’optimisme. Je ne cherche pas à démontrer que le verre est à moitié vide, ou à moitié plein. Cet adage me paraît tellement impropre ! Le verre est tel qu’il est, pour partie vide, pour partie plein. Il s’agit de le contempler pour ce qu’il est et d’en faire ensuite le meilleur usage.

 

Si cela peut se faire au contact de la nature, au calme d’endroits inspirants, c’est encore mieux. Je ne fais pas de la nature un diktat, mais j’en observe la puissance dans ma pratique quotidienne.

 

Trop souvent, j’ai accompagné des personnes en passe de perdre pied et de glisser vers l’épuisement professionnel, à mesure qu’elles perdaient le contact avec la nature et leur environnement humain. J’ai aussi suivi des personnes en post burn out, qui concédaient ne plus avoir été en mesure de lever le regard, vers les autres et moins encore vers l’horizon. 

 

Ces aveux m’ont heurtée, car je pense que nous disposons fondamentalement de trois ressources : nous-même, les autres et la nature. Permettre un ré-accès à ces « puits de sens » constitue ma quête professionnelle. Aujourd’hui où la nature devrait être notre préoccupation n°1, je propose d’en faire l’alliée incontournable de vos parcours de développement personnel et collectif, dans une démarche impliquante, structurée, et simple.